La formation en réalité virtuelle (VR) s’impose comme un moyen plus écologique et efficient de former les employés. En remplaçant les sessions pratiques sur machines réelles par des simulateurs immersifs, les entreprises réduisent drastiquement l’immobilisation de leurs équipements et la gâche de matières premières.
Un exemple emblématique est celui de Bridgestone, qui a mis en place un simulateur VR de fabrication de pneus à l’échelle 1:1 pour former ses opérateurs. Grâce à ce jumeau numérique, intégré à un dispositif de formation plus large, les apprenants s’exercent à chaque geste technique en immersion, avant même d’approcher une machine réelle.
Les résultats sont éloquents : Bridgestone a mesuré une réduction de 80 % du temps d’immobilisation des lignes de production pour la formation, une baisse de 90 % des ressources formateurs mobilisées, jusqu’à 50 % d’incidents de sécurité ou de qualité en moins, et in fine 70 % d’économie sur le coût total de formation.
Autant de temps, d’énergie, de ressources et d’émissions économisés, ce qui contribue directement aux objectifs environnementaux de l’entreprise. Au-delà de la formation elle-même, la VR permet également de réduire les déplacements : les sessions peuvent se dérouler localement ou à distance, partout dans le monde, sans qu’il soit nécessaire de faire voyager les équipes.
Ainsi, le volet IT for Green de la RSE est renforcé par la VR, qui aide à former mieux tout en formant “propre”, c’est-à-dire en minimisant l’empreinte carbone de la formation professionnelle.
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